Premier jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, que j'aime à venir prier au pied de votre image miraculeuse
! Elle éveille en moi les sentiments de la confiance la plus vive et
la plus filiale. Vous tenez entre vos bras Jésus, mon Sauveur et mon
Dieu. Il est le Tout-Puissant, le Maître absolu de la vie et de la mort,
le Dispensateur souverain de tout bien et de toute grâce. Et vous êtes
sa Mère ! vous avez donc tout droit pour le prier et tout droit pour
en être exaucée. Il a d'ailleurs souvent prouvé, à
nous autres pécheurs, qu'il ne savait et ne voulait rien vous refuser.
Je m'adresse donc à votre toute-puissante intercession, ô Mère de Jésus, et vous supplie de m'accorder pendant cette neuvaine la grâce … [désigner ici l'intention de la neuvaine].
Je m'adresse donc à votre toute-puissante intercession, ô Mère de Jésus, et vous supplie de m'accorder pendant cette neuvaine la grâce … [désigner ici l'intention de la neuvaine].
Je viens vous prier avec une confiance totale, persuadé que vous ne cessez
jamais vous-même de prier pour vos enfants, et donc aussi pour moi.
Je vous salue Marie, ..
Souvenez-vous, ô très
miséricordieuse Vierge Marie, qu'on n'a jamais entendu dire qu'aucun de ceux
qui ont eu recours à votre protection, imploré votre assistance ou réclamé vos
suffrages, ait été abandonné!
Animé de cette
confiance, ô Vierge des vierges, ô ma Mère, je viens à vous, et, gémissant sous
le poids de mes péchés, je me prosterne à vos pieds.
Ô Mère du Verbe
incarné, ne méprisez pas mes prières, mais écoutez-les favorablement et daignez
les exaucer. Amen.
Deuxième jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, en cet enfant Jésus encore tout faible que vous serrez contre
votre cœur, vous ne voyez pas seulement le Fils de Dieu, votre Fils, mais
aussi tous les hommes devenus, par la volonté de Dieu et par votre acceptation
à Nazareth et au Golgotha, vos véritables enfants. Vous n'oubliez
pas la parole de votre Fils au Calvaire qui, considérant son disciple
Jean et nous tous en lui, vous a dit : « Voici ton fils ! » (Jn
19, 26).
O ma Mère, avec cette simplicité d'un fils malheureux, je viens
vous dire combien je souffre et suis tenté de désespérer.
Cependant, je sais que je suis votre enfant et que vous écoutez toutes
nos prières. O ma Mère, vous connaissez ma demande : exauce-la
pour la plus grande gloire de votre Fils, mon Seigneur !
Notre Père, ..
Je vous salue Marie, ..
Souvenez-vous..
Troisième jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, j'aime à contempler votre image bénie. Elle me parle
ave éloquence de toutes vos grandeurs. A droite, j'y vois l'archange
Gabriel, le divin Ambassadeur qui vous salua du titre absolument unique de «
Pleine de grâce ». A gauche, j'y vois l'archange Michel dont la
présence nous rappelle que vous commandez à toutes les milices
célestes. En votre main droite, vous tenez les mains du Roi des rois.
Tout cela me rappelle que vous êtes la Femme bénie entre toutes
les femmes, le plus bel ornement de l'univers, la créature jugée
seule digne de devenir la Mère du Verbe incarné. Vous êtes
l'Immaculée, la Toute-Sainte, le chef-d'œuvre du Très-Haut.
Vous êtes la Reine de la terre et des cieux, le grand honneur de notre
humanité.
O Mère admirable, loin de m'effrayer, votre incomparable grandeur ne fait qu'augmenter ma confiance : si Dieu, dans sa bonté, vous a faite si sainte et si puissante, c'est pour notre salut, et si vous vous réjouissez de vos privilèges, c'est qu'ils vous permettent de mieux nous secourir. O Mère incomparable, accordez-moi la grâce que je sollicite de votre maternelle tendresse.
Notre Père,..
O Mère admirable, loin de m'effrayer, votre incomparable grandeur ne fait qu'augmenter ma confiance : si Dieu, dans sa bonté, vous a faite si sainte et si puissante, c'est pour notre salut, et si vous vous réjouissez de vos privilèges, c'est qu'ils vous permettent de mieux nous secourir. O Mère incomparable, accordez-moi la grâce que je sollicite de votre maternelle tendresse.
Notre Père,..
Je vous salue Marie,..
Souvenez-vous...
Quatrième jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, votre maternel regard réconforte nos cœurs inquiets et
blessés. Vous nous apparaissez comme la Tige sacrée sur laquelle
s'épanouit la Fleur de toute pureté et de toute vertu, votre Jésus,
notre Dieu. Nous L'offrant ainsi par vos mains maternelles, nos cœurs s'ouvrent
plus largement à sa venue et à ses desseins sur nous. Sur votre
front brille une étoile radieuse. N'êtes-vous pas, en effet, «
L'Etoile du matin » qui nous annonce le jour du salut et de la rédemption
? N'êtes-vous pas celle qui nous rappelez la promesse évangélique
du jour sans déclin et de l'éternité bienheureuse ? N'êtes-vous
pas aussi « L'Etoile de la mer » qui fait rayonner l'espoir au sein
des plus noires tempêtes ?
O Mère très aimable, comme vous nous rendez léger le fardeau du devoir, et doux le joug de Jésus-Christ ! Aussi, votre souvenir me met de la joie au cœur et l'évocation de votre nom ramène de la paix dans mon âme inquiète. Laissez-moi vous redire toujours : O Mère si digne d'être aimée, je vous aime ! Par vous et avec vous, j'aime votre divin Fils ! O sainte Mère d'espérance, exaucez-moi !
Notre Père,.. Je vous salue Marie,..
O Mère très aimable, comme vous nous rendez léger le fardeau du devoir, et doux le joug de Jésus-Christ ! Aussi, votre souvenir me met de la joie au cœur et l'évocation de votre nom ramène de la paix dans mon âme inquiète. Laissez-moi vous redire toujours : O Mère si digne d'être aimée, je vous aime ! Par vous et avec vous, j'aime votre divin Fils ! O sainte Mère d'espérance, exaucez-moi !
Notre Père,.. Je vous salue Marie,..
Souvenez-vous...
Cinquième jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, je trouve en votre sainte image un autre motif d'espérer en
votre bonté. Vous vous y montrez aussi la Mère des douleurs. Celui
que vous étreignez dans vos bras, c'est Jésus, crucifié
dans son cœur avant de l'être dans sa chair. Déjà lui
sont représentés les instruments de la passion et vous souffrez
avec lui à cette vue prophétique.
Comme vous, ô Marie, je compatis aux souffrances de votre Fils et, comme lui, je compatis aux vôtres. Ma compassion est d'autant plus vive que ce sont nos péchés qui, en clouant Jésus à la croix, ont torturé votre âme si aimante. Aujourd'hui, c'est au nom de vos douleurs que je vous prie. Donnez-moi la contrition de tous mes péchés et le courage de les éviter désormais. Daignez aussi agréer favorablement la requête que je vous adresse dans cette neuvaine.
Notre Père,..
Comme vous, ô Marie, je compatis aux souffrances de votre Fils et, comme lui, je compatis aux vôtres. Ma compassion est d'autant plus vive que ce sont nos péchés qui, en clouant Jésus à la croix, ont torturé votre âme si aimante. Aujourd'hui, c'est au nom de vos douleurs que je vous prie. Donnez-moi la contrition de tous mes péchés et le courage de les éviter désormais. Daignez aussi agréer favorablement la requête que je vous adresse dans cette neuvaine.
Notre Père,..
Je vous salue Marie,..
Souvenez-vous..
Sixième jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, parce que vous êtes bonne et que vous êtes notre Mère,
la souffrance vous a faite compatissante à nos peines. Cette compassion
à notre égard, je la vois dans vos yeux empreints d'une pitié
attendrie. Ils se fixent moins sur votre divin Fils que sur vos pauvres enfants
de la terre. Qu'il est doux à l'âme accablée de rencontrer
un cœur ami qui sache compatir ! mais quand ce cœur est celui d'une
mère, et d'une mère telle que vous, c'est l'une des plus grandes
consolations de la vie.
A vos pieds, je viens donc reprendre courage, ô Mère compatissante ! Je suis sûr que vous n'abandonnerez pas votre enfant. Ecoutez le cri de ma misère. Dites à mon âme la parole qui console et accordez-moi la faveur que j'implore de votre bonté.
Notre Père,..
A vos pieds, je viens donc reprendre courage, ô Mère compatissante ! Je suis sûr que vous n'abandonnerez pas votre enfant. Ecoutez le cri de ma misère. Dites à mon âme la parole qui console et accordez-moi la faveur que j'implore de votre bonté.
Notre Père,..
Je vous salue Marie,..
Souvenez-vous..
Septième jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, vous êtes la Médiatrice de toute grâce. Oui, vous
êtes la trésorière du Bon Dieu qui veut que toute grâce
passe par vos mains avant de nous être donnée. Votre image me rappelle
que vous êtes la Mère de Jésus, la Mère des douleurs,
et que vous êtes ma Mère. Mère de Jésus, vous êtes
si intimement unie au Cœur de votre Fils. Mère des douleurs, vos
souffrances, unies à celles de Jésus, ont coopéré
à notre salut. Mère des hommes, vous avez accepté de nous
venir en aide.
Oui, je le sais, une âme fidèle à vous invoquer est sûre de votre protection et une âme protégée par vous ne peut se perdre. C'est donc avec assurance que j'ai recours à vous. Obtenez-moi, à votre ressemblance, la fidélité dans le service des intérêts de Dieu. Obtenez-moi aussi la faveur que, durant cette neuvaine, je sollicite de votre maternelle tendresse.
Notre Père,..
Oui, je le sais, une âme fidèle à vous invoquer est sûre de votre protection et une âme protégée par vous ne peut se perdre. C'est donc avec assurance que j'ai recours à vous. Obtenez-moi, à votre ressemblance, la fidélité dans le service des intérêts de Dieu. Obtenez-moi aussi la faveur que, durant cette neuvaine, je sollicite de votre maternelle tendresse.
Notre Père,..
Je vous salue Marie, ..
Souvenez-vous..
Huitième jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, un sentiment de crainte me serre parfois le cœur. En effet, lorsque
je songe à ma misère, je me trouve audacieux d'oser m'adresser
à vous et d'implorer vos faveurs. Cependant, votre douce image semble
me dire : « Confiance, mon enfant ! Ne suis-je pas la Mère de la
miséricorde qui cherche, non des mérites à récompenser,
mais des maux à guérir ? Mon titre de Mère du Perpétuel
Secours ne proclame-t-il pas que Dieu m'envoie vers vous pour vous soulager
en son Nom de toutes vos misères ? »
C'est donc à votre clémence que je fais appel aujourd'hui, ô Marie. Ma confiance repose toute entière sur votre indulgente et compatissante bonté. A vous de me protéger, de me secourir, de me consoler de la manière que vous savez le mieux ;
Notre Père,..
C'est donc à votre clémence que je fais appel aujourd'hui, ô Marie. Ma confiance repose toute entière sur votre indulgente et compatissante bonté. A vous de me protéger, de me secourir, de me consoler de la manière que vous savez le mieux ;
Notre Père,..
Je vous salue Marie, ..
Souvenez-vous..
Neuvième jour :
O Mère du Perpétuel
Secours, me voici arrivé au terme de cette neuvaine où, chaque
jour, je suis venu me prosterner à vos pieds. Aujourd'hui plus que jamais,
ma supplication monte vers vous, ardente et confiante. Je ne puis en douter,
vous avez entendu le cri de ma prière : vous m'accorderez ce que je sollicite,
ou une grâce plus précieuse encore. Par votre Fils crucifié
pour nous, par vos douleurs unies aux siennes, par votre amour miséricordieux,
par votre titre de Mère du Perpétuel secours, exaucez-moi si telle
est la volonté de Dieu !
O ma Mère, ma confiance est si grande que, dès à présent, je vous dis merci ! Merci pour les grâces du passé ; merci pour celles que j'attends de votre inépuisable amour ! O Mère secourable, comme Jésus vous a donnée à nous, maintenant donnez-nous Jésus pour toujours, car c'est Lui la Grâce des grâces ! Amen.
Notre Père, ..
O ma Mère, ma confiance est si grande que, dès à présent, je vous dis merci ! Merci pour les grâces du passé ; merci pour celles que j'attends de votre inépuisable amour ! O Mère secourable, comme Jésus vous a donnée à nous, maintenant donnez-nous Jésus pour toujours, car c'est Lui la Grâce des grâces ! Amen.
Notre Père, ..
Je vous salue Marie,..
Souvenez-vous..
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