« Si nous sentons que notre foi n’est pas ferme, ayons recours au bon Pasteur » (Saint Josémaria Escriva, Fondateur de l’Opus Dei)
« Le Christ a donné à son Église la sécurité de sa doctrine, le courant de grâce des sacrements ; il a prévu qu’il y ait des personnes pour nous orienter, pour nous conduire, pour nous rappeler constamment le chemin. Nous disposons d’un trésor infini de science : la Parole de Dieu gardée dans l’Église ; la grâce du Christ, administrée dans les sacrements ; le témoignage et l’exemple de ceux qui vivent à côté de nous avec droiture, et qui ont su faire de leur vie un chemin de fidélité à Dieu. […] La sainteté de l’épouse du Christ s’est toujours manifestée — comme elle se manifeste encore aujourd’hui — par une abondance de bons pasteurs. Mais la foi chrétienne, qui nous apprend à être simples, ne fait pas de nous des naïfs. Il existe des mercenaires qui se taisent, et il existe des mercenaires qui prononcent des paroles qui ne viennent pas du Christ. C’est pourquoi, si le Seigneur permet que nous restions dans l’obscurité, même dans de petites choses ; si nous sentons que notre foi n’est pas ferme, ayons recours au bon Pasteur, à celui qui entre par la porte en exerçant son droit, à celui qui, en donnant sa vie pour autrui, veut être, dans sa parole et sa conduite, une âme éprise de Dieu : un pécheur aussi, peut-être; mais qui a toujours confiance dans le pardon et la miséricorde du Christ ».
Saint Josémaria Escriva, Fondateur de l’Opus Dei - Quand le Christ passe, 34
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